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19 octobre 2015 1 19 /10 /octobre /2015 08:46

AU SIEGE DU PARTI A LUBUMBASHI

Une ambiance de taille à l'honneur de l'Arrivée du Secrétaire Général à Lubumbashi. Où toutes ses grosses pointures du les Parti SE SONT retrouvées verser prouver aux Mauvaises Langues Qui circulaient en Disant Que Le PPRD n'existait en plus après le départ de CERTAINES têtes du Parti et SURTOUT de l'ex-gouverneur du Katanga. La preuve Est de constater Que Notre famille politique is bel et bien Implantée partout et redingote sur la terre des ancêtres du Président de la République, de Mova Sakanyi, de Richard Muyej, de Tchikez Diemu, la liste exhaustive Est et Ainsi de Suite. Les jaloux en vont maigrir, Disait Koffi Olomide. Bon périple Cher Camarade Secrétaire Général, Recevez nos toutes et tous, mes salutations militantes et dévouées. Gabriel Masudi Bin-Omari

Henri Mova un added 4 Nouvelles Photos - AVEC PPRD Bruxelles et 15 Autres personnes.

8 h · Modifié ·

Quand Dunia Kilanga, le Secrétaire permanent de l'Interfédéral de Kinshasa Est à l'animation, meme Richard Muyej et Tchikez Diemu dansent Comme personne d'Autre. Belle ambiance de camarades Entre Cet après-midi au Siège du Parti à Lubumbashi.

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13 octobre 2015 2 13 /10 /octobre /2015 13:35

~~ Analyse des enseignements du Soldat du Peuple dans son dernier propos sur le Plan du Développement de la RDC Gabriel Masudi·mardi 13 octobre 2015 . Gabriel Masudi a partagé la vidéo de Voice of Congo. 16 h · .

Analyse des enseignements du Soldat du Peuple dans son dernier propos sur le Plan du Développement de la RDC

Par Gabriel MASUDI BIN-OMARI

Je commencerai ce commentaire par une phrase forte, la réponse qu'il avait donné aux occidentaux qui lui avaient dit, je cite:" vous ne ferez même pas trois mois au pouvoir" fin de citation. Et voici la réponse de Laurent Désiré Kabila aux occidentaux, en leur disant, je cite " Je suis le Soldat du peuple, je ferai mon devoir jusqu'à mon dernier jour ", fin de citation. Et c'est cela qui s'était passé le jour de son assassinant ignoble et lâche au Palais de Marbre à Kinshasa ce 16 janvier 2001, c'est-à-dire, quatre ans après son triomphe sur la dictature de trente deux ans sous le Maréchal Mobutu.

C'est pour nous dire que cet Homme savait qu'il va mourir un jour en martyr comme son aîné le Premier Héros National Emmery Patrice Lumumba, mais après avoir accompli sa mission sur terre, en RDC, courte soit-elle, mais l'essentiel avait été atteint. Sa comparaison avec Emery Patrice Lumumba et leurs reconnaissance par le peuple congolais d'être acceptés comme nos Héros nationaux, n'est pas à démontrer. Quelques mois après notre Indépendance, ce dernier fut assassiné le 17 janvier 1961 au Katanga par nos compatriotes et quelques sujets Belges avec la complicité de la Communauté internationale. Revenons sur cette image que j'ai voulu partager avec vous, pour nous dire que M'Zee Laurent Désiré Kabila avait été surpris du comportemental des certains sujets de son entourage lors de la première tentative du coup d'Etat avorté de l'armée rwandaise qui l'avait accompagné pour déloger Mobutu au pouvoir.

Après que le Président de la République, Laurent Désiré Kabila ait pris la décision de demander aux forces armées étrangères de quitter la RDC, la surprise fut grande de voir certains de ses Ministres rentrés au Rwanda pour cause, ils n'étaient plus en sécurités. D'où, la reconnaissance par le Président de la République M'Zee Laurent Désiré Kabila de l'infiltration du haut sommet de l'Etat par des éléments rwandais. Il avait dit, suivez son intervention dans ces images qui seront inscrites et gravées dans nos annales aux fichiers de la Nation.

Conflit au sein de l'Etat du 2 août 1998.

Pendant cette période très dures pour Laurent Désiré Kabila, il s'était adressé dans ce point de presse à la population congolaise en général et surtout à la population kinoise en particulier, qui, durant ce conflit du 2 août 1998, s'étaient levées comme un seul homme pour bouter dehors les ennemis de la Révolution du 17 mai 1997. Ici, le Président de la République se demande que ce qu'il va donner à son peuple pour cette prise de conscience massive et populaire pour défendre les acquis de la Révolution.

Pour lui répondre à son questionnement, je lui dirai qu'il nous a laissé son fils, Joseph Kabila Kabange, qui est un vrai cadeau pour le peuple congolais dans son ensemble. Paix à son âme là où il se trouve, car son plan est positivement planifié par ce dernier pour le développement du Congo. Tout ce que nous vivons aujourd'hui a été planifié depuis la nuit de temps. Depuis le Prophète Simon Kimbangu, de Lumumba et de Laurent Désiré Kabila, notre pays est un prodige. Ceux qui vivrons longtemps, se rappelleront du début de l'émergence de la République Démocratique du Congo sous l'égide de Joseph Kabila Kabange. Une histoire vivante.

J'arrête ici ma première analyse, que je vais encore reprendre pour donner le temps d'une pause à mes lecteurs, car l'histoire est très très intéressante pour connaître qui était réellement LE SOLDAT DU PEUPLE. ( à suivre )

Gabriel Masudi Bin-Omari

Membre de la MP

Membre et Militant PPRD-Fance.

0:11/13:14 .. 36 072 vues . Voice of Congo 15 janvier · Le dernier discours de L. D. Kabila - «Les Envahisseurs du Congo seront écrasés » À ECOUTER ATTENTIVEMENT ET PARTAGER!!! Aime notre page -> Voice of Congo N'OUBLIEZ PAS DE NOUS SUIVRE SUR TWITTER : https://www.twitter.com/VoiceOfCong... (@VoiceOfCongo)

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4 octobre 2015 7 04 /10 /octobre /2015 00:42

LE G7 NE DE LA MAJORITE PRESIDENTIELLE S’AUTO-EXCLU DE LA REUNION SEPTEMBRE 2015

Par Gabriel MASUDI BIN-OMARI

Voici les sept dignitaires signataire du G7

Yves Mobando-Yolo

 Banza Maloba Danny

 Olivier Kamitatu Etsu

 José Endundo

 Gabriel Kyungu wa Kumwanza

 Charles Mwando Nsimba

 Christophe Lutundula

La naissance du groupe des sept partis politiques de la Majorité Présidentielle a déjà fait parler de lui et cette fois-ci, c’est la troisième tentative pour vouloir déstabiliser le pouvoir du Chef de l’Etat, le Président de la République, Joseph Kabila Kabange, le Gouvernement du Premier Ministre Matata Ponyo et la Majorité Présidentielle dans laquelle le groupe fut membre de plus de dix ans.

Comment j’ai été informé de cette nouvelle qui m’a fait un peu affaiblir ce soir là, car je ne m’y attendais pas que les gens qui venaient d’écrire ce document sont bel et bien les membres de la Majorité Présidentielle, dans laquelle je m’y trouve quelque soit la distance qui me sépare de mon pays. Après avoir lu le message, ce soir même, je m’étais mis au lit très affaibli et un peu découragé du fait que, soutenant le Chef de l’Etat et notre Majorité Présidentielle, j’avais écrit à l’ami que je ne m’y attendais pas à cela.

Mais, la vie est ainsi faite. La trahison volontaire et prémédité sur toutes ses formes et surtout de l’homme comme Pierre Lumbi, Conseiller spécial du Chef de l’Etat en matière des sécurités, m’avait fait froid au dos. Cette haute trahison de Monsieur Pierre Lumbi contre son propre Patron, Président de la République, ne ressemble pas avec celle que le feu Maréchal Mobutu, paix à son âme, avait subie de la part de son ancien Ministre de l’Education nationale, aujourd’hui Vice-président du Sénat, l’Honorable Cardoso Lossembe Batwanyele, qui avait pris le large pour le Portugal avec la caisse du ministère de l’Education nationale, selon la presse de l’époque dont je n’ai aucun document pour être factuel. Qu’avait dit le Maréchal Mobutu, je cite : « Cardoso, toi aussi mon fils ? » En lingala notre langue vernaculaire nous dit : « Cordoso, yo pe mwana na ngai ? », qui se traduit en latin : « Brutus, tu quoque mi fili ? Toi aussi mon fils ? Lorsque Brutus avait trahi son père César.

La trahison du Vieux Charles Mwando Nsimba sur son Fils Joseph Kabila Kabange, c’est très grave. Le Président de la République lui considérait comme son père, vu son passé aux côtés du Soldat du peuple, le feu Laurent Désiré Kabila, paix à son âme, cela m’avait également dépassé. Ce Monsieur, grâce à Joseph Kabila Kabange, il a mangé à toutes les sauces de la République. Il ne lui restait que de devenir premier ministre, alors qu’il voulait encore plus. Je qualifierai cela de l’ingratitude et de manque de reconnaissance envers un homme qu’il pourrait mieux connaître que quiconque. Si le Kamitatu et les autres ont trahi le Chef de l’Etat, mais la trahison de Charles Nsimba Mwando, a une autre dimension.

Quant à Olivier Kamitatu Etsu, cela n’avait pas étonné ni surpris. Car lui, a fait de la trahison sa philosophie, sa culture et sa façon de faire la politique. Le seul cri d’alarme de notre compatriote Jean-Pierre Bemba Gombo Igwe, lorsqu’Olivier Kamitatu Etsu était à ses côtés au sein du MLC, parti cher à Jean-Pierre Bemba, il lui avait fait le même coup. C’est à partir de ce jour là que Jean-Pierre Bemba découvrira le vrai visage de son ami de longue date. Cette petite phrase que ce dernier dira à son ami à travers une interview, qui est devenue célèbre et qui a bien collé à la peau de Olivier Kamitatu, je cite : « QUI A TRAHI, TRAHIRA », fin de citation.

Ce n’était pas étonnant qu’Olivier Kamitatu ne récidive, car c’est dans son sang et sa philosophie de faire ou de pratiquer la science politique autrement. Bien entendu, les ambitions personnelles sont légitimes, mais de fois, elles détruisent notre personnalité et notre crédibilité. En voulant trop avoir, on perd tout, nous disait quelque part La Fontaine dans ses fables. Le Président de la République lui faisant confiance, nommé Ministre du Plan dans le Gouvernement de cohésion nationale issu des concertations, l’homme Kamitatu n’était pas satisfait de ses ambitions gloutonnes pour vouloir danser plus vite que la musique politique.

Quant au Baba Gabriel Kyungu wa Kumwanza, c’est un sinistre personnage. Il empoisonne tout. Son franc parler c’est pour tout détruire et non construire. Nous avons encore dans nos tristes mémoires des massacres et la chasse des tribus Baluba du Kasaï au Katanga. Si notre pays se trouvait dans la zone Europe, Gabriel Kyungu wa Kumwaza devrait encore être, à aujourd’hui, incarcéré dans un Centre pénitencier de haute sécurité, parce qu’il est non seulement dangereux, mais nuisible à la société humaine. Je pense, il sait qu’il est à la fin et ne veut pas sombrer seul. C’est pour cette raison, il a mis certains naïfs à bord de son bateau chavirant au large d’un Océan en fureur par des vagues des plus de cinq mètres de haut.

Ce Baba pour les katangais et non le Baba qui signifie Père en swahili, n’est pas le Baba de la République Démocratique du Congo. Nos Pères de l’indépendance sont bien connus et honorés. Paix à leurs âmes et longue vie à ceux qui sont encore vivant, tel est l’exemple du Patriarche Antoine Gizenga et autres. Cet homme aux ambitions macabres de séparatiste, tribaliste, sécessionniste, xénophobe, son baroud d’honneur est de vouloir laisser le Katanga en particulier et la RDC en général en feu et en sang. Mais, l’homme qui est à la tête des Institutions de la République, est un homme béni de Dieu, car, s’il n’avait pas cette sagesse et cette patience d’esprit et du cœur, la République Démocratique du Congo serait depuis très longtemps en guerre contre nous même congolais, comme les souhaiteraient et les voudraient les pays qui convoitent notre richesse.

Quant aux quatre autres membres signataires de cette lettre défiante contre le Président de la République et la Majorité Présidentielle d’où ils sont issus, chacun d’entre eux est responsable des fait, acte et geste posés. Une seule leçon à retenir, est de dire haut et fort que notre jeune démocratie doit être appréciée par tous les congolais et toutes les congolaises. La libre d'expression fait partie également des nos acquis incontestés depuis que Joseph Kabila Kabange est au pouvoir. Pour ceux qui ne l’acceptent pas, c’est leur droit légitime. Car, toute personne, surtout l’homme politique, ne peut pas être aimé ou apprécié à cent pour cent. Sauf pendant les années sombres de la dictature en Afrique et à ailleurs. Les quatre autres signatures sont : Yves Mobando-Yolo, José Endundo, Banza Maloba Danny, Christophe Lutundula, tous sont libres et vaquent à leurs occupations d’opposants des donneurs de leçon au Président de la République et à la Majorité Présidentielle. Ils se sont constitués une plateforme politique en toute liberté.

Je conclurai cette réaction par un passage Biblique dans les Proverbes chapitre 10 : verset 19-20 qui nous dit ; « Celui qui parle beaucoup ne manque pas de pêcher, mais celui qui retient ses lèvres, est un homme prudent ». Merci Son Excellence, Président de la République Joseph Kabila Kabange, pour votre sagesse. Je vous respecte.

Gabriel MASUDI BIN-OMARI.

PPRD France.

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7 juillet 2014 1 07 /07 /juillet /2014 22:20

DISCOURS INTEGRAL DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

COMMENTAIRE ET ANALYSE

Par Gabriel MASUDI BIN-Omari

1. Hommage aux Pères de l'Indépendance

Le signe de politesse oblige, le Président de la République Joseph Kabila Kabange un message ouvert de fils par Rendre non national qu'International de dynamique hommage aux Pères de Notre-Dame. Car, this commémoration du 30 Juin 2014 n'aurait ni lieu, ni l'existence n'eut Été Les sacrifices Jusqu'a la Perte de Leurs vies, C'est-à-dire, Jusqu'a la mort d'écoulement Rendre Notre paie libre sous le joug colonial de plus de quatre-vingts des ans.

Arrachée le 30 juin 1960 à la Table Ronde en Belgique sous le Royaume de Bwana Kitoko Le Roi Beaudouin, paix à son fils âme, Les Acteurs Politiques of this époque n'ont hesite Pas de demandeuse au cours de this conférence, de fixateur la date de buttoir de la fin de la colonisation du Congo-Léopoldville le 30 juin 1960, a choisi Acquise sans Autre forme de procès. Les années Qui suivirent l'accession de Notre paie à la Souveraineté nationale qu'internationale furent des Années Sombres, des troubles et des turbulences des suivies des rébellions et des sécessions.

2. L'interpellation

Le Chef de l'Etat interpelle ici Chacun de nous dans les Paragraphes Qui suivent. Il Nous Demande TOUTES et Tous à Nous attacher à Notre mère patrie verser fils émergence et sa Prospérité. Par là, Devons BNO savoir Qué Nous Sommes Tous Les Acteurs du Progrès, de l'Unité et de la défense de Notre Souveraineté, Toutes-Les Générations confondues.

Avec non rappel d'histoire, le Chef de l'Etat DEMANDE A chacun de nous L'DE FAIRE UNE rétro perspective durant de Les Vingt Dernières Années, Durant lesquelles Notre paie etait assujetti par de multiples Conflits Qué Notre Armée restructurée, Formée et rendue Opérationnelle par la Détermination du Commandant Suprême et fils Gouvernement de mettre fin à la situation de this.

3. Reconnaissance

La montée en puissance des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), un pousse Les Autorités Politiques QUI UNO gouvernent DE Rendre l'ONU vibrant Hommage Et la reconnaissance de Tout un peuple Derrière les Victoires escomptées de l'annee 2013 Sur Toutes-Les forces Qui négatifs écumaient la Partie orientale de Notre paie. L'hommage was Rendu-aux forces armées de la RDC, à la Police Nationale, Aux services des Securites de Notre Territoire et aux amis de Notre peuple à Travers le Monde.

L'annonce solennelle du Chef de l'Etat à la Nation et Peuple congolais Au Que Nos Forces armées Et Les services des Securites Ont le Contrôle absolu de l'ensemble du Territoire national, polo N'Est-CE juin bonne nouvelle?

4. Promesse

Pour la mémoire de Tous Ceux Qui SONT Tombés sur les champs des Batailles sous les balles des Ennemis, Tous CEUX ET QUI SONT Toutes-Celles morts une cause DE sevices des Toutes-humiliations corporelles ET inhumaines, non monument sérums Érige en mémoire et deviendra Leur non lieu de recueillement et de reconnaissance versez Notre histoire. Une attention Tout un fait Particulière Que le Chef de l'Etat une lance à la Nation, je cite: «Quelle Que Soit la satisfaction Légitime Qué Nous procurent les hauts Faits d'Armes, Restons Vigilants. Car l'ennemi guette et Nous N'a Pas Encore lâche prix », fin de citation.

5. «Ne Jamais trahir le Congo» (Héros national, Laurent Désiré Kabila)

This courte phrase of this grand chef parmi Au les Grands Leaders Africains du XIX et du XXIème siècle, Nous DEVIENT Comme une philosophie, Comme une arme de l'ennemi Combattre, Comme un bouclier de guerre. Compatriotes les combattants de meme, de l'opposition Qui ne comprennent Pas qu'ils SONT en former de trahir le Congo lorsqu'ils Disent N'importe quoi et lorsqu'ils écrivent N'importe quoi sur les Réseaux sociaux Contre le Congo, Contre les Institutions, ILS utilisent this affirmation Combien Valeureuse, Combien nationale et patriotique Combien versez Leur appartenance à la nation congolaise. Leur droit de C'est MAIS Leur Devoir is also de acception les institutions établies et les hommes conduisent QUI CES institutions.

Lorsque le Président de la République Nous dit, je cite: «La Souveraineté de Notre paie et la Dignité du peuple congolais ne se marchandent Pas», et de continuateur, plus loin, je citent: «Il en intérêt de meme de Notre Indépendance et de Notre liberté. Les Préserver à tout prix Est Fait, versez Chacun de Nous, non Devoir citoyen », fin de citation. Obligation de C'est de juin et Devoir citoyen.

6. Conseil

Le congolais obole soi Prendre en accusation, Encore une phrase de M'zee Laurent Désiré Kabila, le Père biologique de l'actuel chef de l'Etat. Le Président de la République, de LOR Adresse de fils à la nation le 30 juin 2014, il a CONSEILLE au peuple congolais d'Avoir Confiance en Nous same et en our capacity à GÉRER Notre destin. Nous Sommes capable Aujourd'hui et mature, Nous Considère le Chef de l'Etat. Il Nous CONSEILLE d'Avoir Preuve de solidarité et de cohésion nationale. Unissons-nous Pour Un Congo Prospère et fort.

7. Appel solennel et patriotique

Le Président de la République, reconnaissant l'importance du retour au Pays de la diaspora congolaise, il lance non appel vibrant et solennel à Tout compatriote de Rentrer au Pays verser l'Epanouissement de la Nation, notre Patrie. Le Chef de l'Etat a presenté le RDC aux Yeux de session compatriotes résidents à l'Etranger Comme un paie En pleine mutation, en Pleine Croissance, en expansion économique et sociale Pleine. C'est Pour désastreuses AUSSI une sessions compatriotes Qué La Paix et la Sécurité UNO SONT revenus, Tout le monde à sa position.

8. Réponse du Chef de l'Etat

Concernant TOUTES les Attentes du peuple congolais sur le Suivi des Concertations Nationales, le Chef de l'Etat a répondu à this épineuse question Que Tout le monde se pose. VOICI La Réponse, je cite: «l'engagement commun de Djé d'accelerer la mise en Œuvre des recommandations DE CES assises, de faà § on méthodique, MAIS en évitant Toute précipitation», fin de citation. Je Crois Que le Président a raison. Il Pense à juin consolidation et à l'unité nationale. Soyons patients, le moment où Venu, Tout le monde va S'y Retrouver. Ayons Confiance au Chef de l'Etat, il murit voiture fils geste et devant le fait.

9. Exhortation

Lorsque le Président de la République Nous dit, je cite: «J'exhorte, Ailleurs pair, each de Nous, Acteurs Politiques, Économiques Opérateurs, la Société Civile et Autres organisations de masse, à Travailler au rassemblement du peuple congolais Autour de Notre Volonté commune de raffermir le lien national, d'assureur la défense et la sécurité du Territoire national, de Consolider la paix et la Stabilité, de mieux, encadrer Notre jeunesse et de promouvoir juin économique nationale forte et génératrice des dividendes réinvestis Pour Le majoré Nombre grande », fin de citation.

Ici, le Chef de l'Etat Veut Nous dire TOUTES et Tous Que Nous Sommes des Responsables et des Acteurs Potentiels dirige de Notre entente et de Notre Développement. Et, le Développement d'ONU paie NE s'acquiert Pas Dans Les Désordres ET Dans Les querelles D'intensions. Devons Nous Nous serrer les coudes voiture Notre paie et fils peuple, viennent de longe. Il N'a Pas délit lorsqu'il dit Qué Notre démocratie intérêt jeune. De C'est par Notre Détermination Qué Nous rendrons la Solide et Efficace.

10. Economie

Notre intérêt économique Florissante et émergente, si je Peux UTILISER CE mot. Il Est Vrai Que Devons BNO en Être Fiers Suite à l'ONU Travail d'ONU Gouvernement laborieux et Efficace sur le plan de économique, financier et J'en passe. Le Président de la République Nous Rappelle Les Mauvais Jours de Notre économique et Nous Rassure Que l'inflation à Trois Chiffres et la 'amortissement continuelle de Notre monnaie, ne SONT ainsi Qué des Vieux ET MAUVAIS souvenirs. Le Taux d'intérêt Échange au bon fixe DEPUIS ainsi de Cinq ANS rapport par-aux dollars.

11. Le Serment du Chef de l'Etat

L'our de Avant de Terminer fils Adresse et avant de dire Que Dieu paie et Je vous remercie, le Chef de l'Etat à Preter le serment suivant, je cite: «Verser une partie de ma, je m'engage à œuvrer inlassablement à continuateur versez l 'émergence de la République Démocratique du Congo », fin de citation. Qu'en Pensez-vous de serment de ce? Quant à moi d', J'y crois. Chacun son Choix, chacun sa condamnation.

Conclusion

Les Appels des DE GAULE congolais A l'extérieur de Notre paie deviennent ridiculise ET insignifiants. Hier J'ai Suivi non compatriote sur la Page fecebook de Papy Tamba, J'ai eu pitié. Toute fils analyser Sur le discours du chef de l'état etait contradictoire ET n'avait No surf sens. Il divaguait et je ne sais Même pas si CE compatriote éclairé costume ous same l'actualité de Notre paie. IL Le pas n'est Seul un Appeler Au soulèvement de la Population Contre le Government of Au Pouvoir et commande meme A nos CRDA DE se révolter Contre le Commandant Suprême des Armées. C'EST le same CAS versez Honoré Ngbanda et D'AUTRES compatriotes détraqués ET immatures. Notre Armée intérêt disciplinée et Formée POUR L'interest de la Nation et non individuellement Pour Un inconnu au rang du commandement.

Gabriel MASUDI BIN-Omari

Echo de la Diaspora Congolaise Paris-France.

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12 janvier 2014 7 12 /01 /janvier /2014 16:42

12 janvier 2014, 14:28

JOSEPH KABILA DOIT PARLER

Réaction de Gabriel MASUDI BIN-OMARI SUR LA SITUATION ACTUELLE EN RDC

Voici chers compatriotes, un article que j'avais publié au tout début des campagnes électorales présidentielles et législatives à un tour du 28 novembre 2011. Je me suis réservé le droit de ne pas réagir à chaud, sauf des petits flashs signifiant mon indignation et ma colère sur tout ce que nous venons de vivre à la fin de l'année 2013, qui est une année qui nous laisse avec de très mauvaises images voire de mauvais souvenirs.

LES EVENEMENTS MALHEUREUX DE LA FIN 2013

Je vais être bref et court. Il est vrai que nous avons enregistré un événement heureux lorsque nos Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FRDC) ont bouté dehors le M23 dans une opération qui a duré que quatre jours depuis prêt d'une année d'occupation de l'Est de notre territoire national. Cette victoire a été saluée par tout le monde et ceux-mêmes qui traitaient nos forces armées des peureux et de non valeux pour défendre notre Nation. Espoir pour une paix durable dans cette partie de notre pays a jailli dans les coeurs brisés des hommes et des femmes toutes générations confondues.

LES JOURS SOMBRES DE FIN DE L'ANNEE 2013

La République Démocratique du Congo dans son ensemble est entrée dans le trou noir deux jours avant la fin définitive et de mauvais souvenir pour tous les congolais le 30 décembre 2013 à 8 heures 30' à la Radio Télévision Nationale Congolaise (RTNC), d'où les journalistes ont été pris en otage par un groupr insignifiant des jeuneS congolais non armée jusqu'aux dents comme nous voyons dans d'autres cas des prises d'otages. Et c'était le début d'une série noire des événements malheureux et déplorables.

Le même jour et presque au même moment, la même situation s'est déroulée à Lubumbashi, à Kolwezi et à Kindu-Maniema. Les assaillants qualifiés et présentés comme des Terroristes par le Gouvernement à travers la bouche de son Porte-parole, avait pris une dimension de peur et de terreur à travers le pays. Surtout à Kinshasa la Capitale où la situation était très confuse et ambiguë car trois sites de très haute sécurité du pays ont été attaquées par le même groupe du Prophète Joseph Mukungubila, un katangais, originaire du même village que le Président de la République du côté de son Père M'Zee Laurent Désiré Kabila? Paix à son âme.

QUE-CE-QUI S'ETAIT PASSE ?

Il suffisait deux à quatre heures pour que notre armée et la police nationale mettent à genou ce groupe de jeune gens qui se reclamait venir libérer le peuple congolais sous l'occupation rwandais au nom de leur prophète Joseph Mukungubila. Les massacres qui se sont déroulés durant ces trois ou quatre heures étaient presque apocalyptique. La police et l'armée ont appliqué une force féroce pour tuer ces congolais sans chercher à les encercler et demander leurs réditions sans passer par une tuerie car les services de renseignement devrait informer l'armée et la police qu'ils n'étaient pas suffisament armés.

Les trois sites de la Ville-Capitale Kinshasa qui sont la RTNC, l'Etat Major Général de l'Armée et l'Aéroport international de Ndjili. La question que tout le monde se pose est la suivante: comment ces hommes sont parvenus à aller jusqu'à monter à l'Etat Major Général ? Enigme difficile à comprendre.

LES MASSACRES ET LA PROFANATION DES CADAVRES CONGOLAIS A KINSHASA

Après la sale besogne, ce qui a choqué tout être sensible, est l'exposition des tués et leurs traitements inhumains par les agents envoyés pour mettre fin à cette manifestation. Ceux qui se sont réjouis en ce jour cynique pour notre pays, aujourd'hui, je crois que leurs consciences les repprochent. Le temps des répentances est arrivé. Le mal fait sur nos compatrriotes morts ce 30 décembre 2013, sont atroce et douloureux, soyons en conscients. Ce qui n'a pas été prise en compte par les autorités congolaises, c'est l'imprudence de ne pas préserver la vie et les sangs humains. Les sangs de nos compatriotes ont beaucoup coulé depuis la nuit de temps, mais les verser encore de cette manière expéditive, ma beaucoup choqué et je ne suis pas le seul.

DRAME DE L'ASSASSINAT DU COLONEL MAMADOU NDALA CE JEUDI 2 JANVIER 2014

D'emblée, j'entre dans le vif de mes convictions pour dire que c'était un assassinat que les congolaises et les congolais demandent des éclaircissements au Gouvernement de la République et à la Présidence de la République. Comme je l'avais dit et écrit, il faut que nous soyions des imbéciles pour ne pas comprendre que c'est un assassinat. Nous ne pouvons pas nous voiler la face pour aller dans le sens contraire de la vériuté. Je ne suis pas expert en matière, mais avec mon expérience par rapport à mon âge, le feu Colonel Mamadou Ndala à son assassinat, qui au titre posthume, a été élévé au grade de Général, a été bel et bien assassiné et je le dis avec force, à devienne que pourra, je suis congolais comme lui et son sang crie dans mon mien et dans les sangs de tout congolais.

L'ABSENCE DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE AUX OBSEQUES ET A LA CEREMONIE

L'absence du Président de la République a été remarquée, et si personne ne parle, c'est de l'hypocrésie pure et simple. Il est le garant des Institutions et le Commandant suprême de nos forces armées. Un Officier qu'il avait lui-même élévé à ce grade du Colonel et qui vient de tomber sous la complicité des traites, des infiltrés tel que le commandant issu du CNDP de Beni et par des jaloux au sein des gradés de l'armée, le Président de la République devrait réhausser de sa présence pour honorer ensemble et en communion avec la famille du défunt et de tout le peuple congolais.

Comme partout ailleurs, lors de cette cérémonie d'adieu, c'est le Président de la République qui préside et qui décerne le titre posthume aux personnes concernées. Quelque soit le grade du soldat, caporal, adjudant, sous-officier, officier tombés sur les champs des batailles, c'est le commandant suprême qui les décore. Le Chef de l'Etat ne pouvait pas déléguer cette cérémonie à quelqu'un d'autre, quelque soient ses préoccupations présidentielles. Enfin, comme nous dit cette adage:" Le Chef a toujours raison et que le Chef n'arrive jamais en retard, il est empêché", fin de l'assertion.

CONCLUSION

Comme je le dis tout au début de ma réaction que je ne serai pas très long et pourtant il y a beaucoup à dire, pour laisser les lecteurs de lire jusqu'au bout ce qui suit sur le sujet Joseph Kabila Kabange doit parler. C'est pour dire à tous ceux et à toutes celles qui vont trouver inacceptable mes préoccupations, c'est leur droit. Nous ne pouvons pas tous être d'accord ou couvrir le mal parcqu'on fait partie d'une même idéologie. Ce qui ne va pas, il faut le dénoncer pour corriger l'avenir. La République ne s'arrêtera pas après le Gouvernement actuel, des hommes et des femmes qui prendons la rélève des affaires publiques s'inspireront des idées positives pour la bonne continuité de notre pays.

Le Président de la République doit parler et se défendre seul contre les vents et marées sur les accusations portées sur sa personne comme étant un sujet rwandais. Cette accusation a durée très longtemps depuis les révelations de Monsieur Honoré Ngbanda et qui a pris de l'ampleur jusqu'à nos jours. Le moment est venu que Joseph Kabila Kabange puisse s'expliquer sur son identité et sur son affiliation avec le Héros National M'Zee Laurent Désiré Kabila. Toute la Nation a besoin de l'adresse du Président de la République pour éclairer les lanternes sur lui. Il n'y a que lui qui doit dementir et non les intermédiares.

Comme on dit souvent:" On répond les imbéciles par le silence" et moi de dire que:" Ce silence peut nuire tôt ou tard aux adeptes de cette philosophie" J'apprécie tous les défendeurs du Président de la République sur ce sujet épineux et qui n'ont pas encore apporté une acalmie aux des détracteurs de Joseph Kabila Kabange. Il faut que lui même s'exprime et s'explique sur tout ce que nous avons attendu depuis plus de 14 ans pour sa crédibilé. Les Lambert Mende et les autres n'étaient pas avec le Chef de l'Etat au maquis à Hewa Bora.

JOSEPH KABILA KABANGE DOIT PARLER

Par Gabriel Masudi Bin-Omari

Introduction

Maintenant que le Président de la République a déposé officiellement sa candidature à sa propre succession à l’élection présidentielle du 28 novembre prochain comme Candidat indépendant appartenant à tout les congolais, je demande en tant que citoyen congolais de la Diaspora, le moment est venu pour que Joseph Kabila Kabange affronte son peuple pour de plus des amples explications sur lui et sur son programme. Toute chose dans la vie a un prix, mais un conseil gratuit n’en a aucun.

Je sais que chaque être humain a sa façon de réagir, sa façon de voir les choses, sa façon de concevoir son univers et sa façon de se comporter devant une situation donnée. Mais, lorsqu’il s’agit d’une situation dangereuse qui porte atteinte à toute une Nation, aux biens et aux personnes, tels sont les cas de combattants de l’UDPS et ceux de l’extérieurs, je crois que l’attitude de sortir de son mutisme devrait s’imposer, surtout que l’on est à la tête d’un pays comme la République Démocratique du Congo.

Que cet appel au Président de la République sortant Joseph Kabila Kabange plaise ou pas, le moment est venu pour lui de s’expliquer devant le peuple congolais qui attend depuis un certain temps sa réaction pour s’ouvrir d’avantage devant le peuple qui l’a placé à la tête du pays. Je crois et je suis persuadé que le moment est venu de défendre sa propre personne sans intermédiaire de qui que ce soit. Il est indépendant et libre de son choix politique.

Beaucoup de mensonges, de calomnies, de injures, d’insultes ont été proférés contre lui et ceux-là depuis qu’il était arrivé au pouvoir. Quand la guerre de la conquête avait commencé et lorsque Joseph combattait aux côtés de son père biologique, Héros National Laurent Désiré Kabila, tout ce qu’on raconte depuis plus de dix ans, devrait être démenti et défendu par Joseph lui-même qui est visé et concerné. Le peuple congolais attend ce moment et je suis sûr que si le Président sortant le faisait avant les élections, il y aura un change dans les esprits des gens. Il doit parler pour convaincre et pour gagner les élections.

En plus de cela, vu des réalisations et un bilan presque positif, car tout n’est pas encore fini et tout n'est pas rose, de ses cinq années au pouvoir depuis son élection aux suffrages universel, première élection libre, transparente et démocratique, je demande à Joseph Kabila Kabange d’affronter cette épreuve devant son peuple pour qu’il soit redoré de la confiance totale des hommes et des femmes qui vont se multiplier par milliers en votant pour lui. Moi, je crois qu’il est un vrai fils de la République, il restera un grand homme dans les annales de notre histoire. La contradiction est permise.

Le dialogue est un moyen de communication efficace pour tout homme politique soit-il ou même pour un père de famille car, cela donne une autre dimension dans l’accomplissement des obligations et des tâches qui lui incombent. Le silence est une arme efficace aussi dans une certaine mesure, mais il ne doit pas être permanent ou de tout moment. L’homme publique est toujours obligé de briser le silence pour se faire entendre et donner un certain nombre de directives et d’orientations pendant un rassemblement public ou privé.

Pourquoi je demande à Joseph Kabila de parler ?

Primo : Les échéances électorales est une période d’une grande zone de turbulence, de perturbation de masse et de population partout dans le monde, sauf dans les pays les plus expérimentés en matières des urnes. Le Président de la République et son Gouvernement doivent être vigilants et prévenants de tout le malentendu de la part de leurs adversaires politiques de tout le parti politique confondu.

Secundo : Joseph Kabila Kabange doit parler au peuple à tout moment et intervenir à chaque fois lorsque cela est nécessaire par plusieurs moyens des communications que dispose le monde d’aujourd’hui. Par de messages adressés à la Nation à la télévision, à la radio et à la presse écrite. Tous les moyens de communiquer sont bons lorsqu’on s’adresse personnellement à son peuple en tant que tel, car cela donne une assurance et une garantie d’entendre la personne qui est au sommet de l’Etat.

Tertio : Joseph Kabila Kabange doit s’adresser au peuple congolais car la situation depuis début septembre se détériore et se dégrade au jour le jour. La voix du Président de la République est prépondérante et elle doit se faire entendre pour que le peuple suive les directives et les consignes données par lui seul sans l’intermédiaire d’une autre personne. L’apparition du Chef de l’Etat à la télévision à l’heure de grandes écoutes est une stratégie de valeur culturelle en politique et de relations directes et efficaces avec le peuple.

Quarto : Joseph Kabila doit parler parce que ses ennemis, ses détracteurs, ses adversaires politiques vont profiter pendant cette période cruciale du silence du Président sortant pour dire n’importe quoi parce qu’ils savent qu’il n’y aura aucune réponse directe ou indirecte de celui-ci. Mais, comme un adage nous : « on répond les imbéciles par le silence ». Ce silence pourra un jour se retourner contre la stratégie de la personne qui ne réagit pas au bon moment.

Qui sont les conseillers en communication de Joseph Kabila Kabange ?

Par cette question, je vais aborder le nœud de la défaillance des conseillers du Président de la République sortant en matière de communications, sans crainte ni peur de qui que ce soit. Dire la vérité est une délivrance de l’âme et de l’esprit pour l’homme. La révélation par exemple de l’Avocat Robert Bourgi, sur le financement occulte de l’Afrique noire francophone aux dirigeants français, c’est une vérité et l’Avocat se sent libérer de lourdes charges de la magouille qui a duré de décennies avant et après les indépendances. Une vérité choquante qui va faire sortir tous les cadavres dans les placards des politiciens français.

Je reproche à ces éminences hommes du savoir et de l’intelligence qui entourent le Président de la République de n’est pas bien se préoccuper de lui pour préparer sa réélection à fond et avec beaucoup de philosophies, de stratégies simples pas très compliquées. Je m’explique ;

- Si j’étais le conseiller en matière des communications, de Joseph Kabila Kabange, Président de la République, j’allais créer autour de lui une cellule de répondant pour intervenir à tout moment dès que sa personnalité est mise en pâture par ses adversaires de tout bord

- Si j’étais le conseiller du Chef de l’Etat Joseph Kabila Kabange, j’allais créer pour lui une cellule de formation avec comme thème linguistique : Les quatre langues vernaculaires en s’appuyant surtout sur la langue de base presque parlée aujourd’hui sur toute l’étendu de notre territoire qui est le LINGALA, que le Premier de congolais ne maîtrisait pas.

- Si j’étais le conseiller du Chef suprême de la magistrature congolaise en matière de communications, de nos jours, depuis près de 14 ans, Joseph Kabila Kabange s’exprimerait parfaitement en langue populaire kinoise qui est le LINGALA, dans le but majeur de converser et de dialoguer à tout moment avec cette population importante de la Capitale, pour véhiculer son message.

- Je sais très bien que, le Chef de l’Etat parle aujourd’hui le lingala et comprend facilement tout ce qui se dise autour de lui. Mais, si j’étais le conseiller du Chef, tout ce processus j’allais les accélérer, pour qu’un jour, Joseph Kabila Kabange s’exprime dans un meeting populaire au Stade des Martyrs en Lingala à la grande surprise de toute la population kinoise en particulier et de la population congolaise en général.

Conclusion.

Voici en quelques lignes un apport considérable que j’aurais voulu apporter et contribuer en tant que conseiller en communication qui pense et qui prépare la réélection au suffrage universel du Chef de l’Etat sortant, Son Excellence Joseph Kabila Kabange, sachant d’avance qu’il sera candidat à sa propre succession. Il n’est pas trop tard pour celui qui veut améliorer et apporter un plus en s’impliquant sans relâche sur un processus unique et efficace d’orienter avec un style nouveau autour de celui qui se trouve à la tête de l’Etat.

Ces deux façons de concevoir les choses, c’est-à-dire, une cellule de répondant à la Présidence de la République, une cellule de formation en Lingala pour le Chef, d’avoir un esprit de créativité et de compétitivité aux côtés d’un homme politique et d’un Chef d’Etat, me semble possible, efficace et positif.

Pour finir, je demande au Candidat Indépendant Joseph Kabila Kabange, s’il est réélu le 6 décembre prochain comme Président de la République, qu’il se choisisse des bons collaborateurs et non des profiteurs qui travailleraient pour un simple plaisir qu’ils sont aux côtés du Président de la République et travaillent à la Présidence de la République sans plus.

Les quinze collaborateurs qu’il avait voulu avoir à ses côtes existent parmi les bonnes têtes bien faites et conscientes de fils et de filles de la République. Pour les dénicher et les trouver, il faut que le Président de la République crée une cellule des chasseurs des têtes d’hommes compétants, fidèles, dignes fils et filles du pays, sincères dans leurs convictions et dans leurs façons d’appréciations et d’appréhender les concepts de la République.

Gabriel MASUDI BIN-OMARI.

Syndicaliste de Formation

Echo de la Diaspora Paris - France

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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 20:00

LETTRE OUVERTE AU COMBATTANT MARTIN SALI

Par Gabriel MASUDI BIN-OMARI

Monsieur,

Depuis bientôt deux à trois ans ou plus, vous faites preuve de votre détermination de vouloir libérer, selon vos propres termes, la République Démocratique du Congo, qui selon toujours vous, qui est sous l’occupation étrangère. Est-ce que avez-vous déjà vécu l’occupation comme l’avait vécu nos parents et nos grands parents lorsqu’ils se faisaient couper les bras par Le Roi Léopold II, patron de l’Etat indépendant du Congo ? Oui, nos frères de l’Est ont vécu l’occupation. Vous avez parfaitement raison de vous exprimer ainsi avec toute liberté d’expression qui est aussi votre droit. Il m’arrive de fois de vous regarder à travers vos déclarations qui sont diffusées dans les milieux sociaux par nos jeunes journalistes qui font la pluie et le beau temps sur le plan médiatique à qui je rends hommage en passant. Il m’arrive de me poser la question de savoir si vous vous regardez après vos déclarations tonitruantes à travers les images que vous laissez derrière vous ?

Je vous pose ici deux petites questions que vous n’êtes pas obligé de me répondre. Quel est le reflet que vous renvoi le film de votre passage devant les multitudes des hommes et des femmes qui vous regardent y compris votre famille ? Vous dites vous que : J’ai bien dit ou j’ai bien parlé ou encore j’ai bien fait mon travail de combattant ? Soit !! La chose qui m’a poussé à vous écrire cette lettre ouverte qui a droit de réponse bien entendu et en tant que mon compatriote congolais, ce votre comportement qui se justifie à tout moment par la violence, par de gestes des violences, par des scènes des violences, par des paroles violentes et par de thèmes d’agressivités, de menace de mort contre toute personne qui s’opposerait à vous et à votre idéologie de vouloir que toute la Diaspora soit combattante et contre les Institutions établies au pays.

Je sais que ce paragraphe va vous exciter et va vous énerver, mais cela n’est pas mon but d’arriver à vous mettre dans un état désagréable. Vous vous dites intellectuel tandis que le principe voire la force d’un homme intelligent est l’écoute, l’analyse avant tout. Concernant le comportemental, le Président de la République, Joseph Kabila Kabange avait lancé un message fort sur le comportement de l’homme congolais en insistant, en martelant que nous devons changer nos comportements, nos méthodes et à la fin de son message, de changer notre mentalité : « LE MENTAL ». Je sais que ça ne va pas vous plaire. Vous affichez un mauvais tempérament partout lors des vos interventions, c’est comme si vous êtes l’homme le plus fort physiquement que tout le monde réuni et pourtant, vous affichez des images négatives. Les gens qui vous félicitent et qui vous applaudissent vous induisent en erreur, si possible, se moquent de vous.

Monsieur Martin Sali, avant d’aborder ce paragraphe, je voudrais vous poser la question sur le décret de Couvre-feu que vous avez décrété dix jours ou une semaine avant le Concert de notre compatriote JB Mpiana au Zénith de Paris le 21 décembre prochain. Qu’entendez-vous par couvre-feu et qui doit décréter le couvre-feu dans une Ville, dans un Quartier et dans quelles circonstances ? Je ne sais pas si parmi d’autres compatriotes il y a ceux qui ont trouvé votre déclaration de guerre normale. La réponse de ma question se trouve sur le mur Face book de notre sœur la Divine Grâce Feza que je viens de lire ce mercredi 20 novembre 2013. Êtes-vous devenu préfet de la Ville de Paris, qui est le patron de la Police et patron de la sécurité des paisibles populations parisiennes ? J’ai voulu vous écrire cette lettre ouverte un mois avant votre ultimatum de menace de mort contre tous sujets congolais qui s’hasarderaient à traverser la ligne jaune que vous tracerez je ne sais où dans Paris.

Monsieur Martin Sali, je suis d’accord avec vous lorsque vous dites que vous êtes dans un pays de la démocratie qui est la France et qui vous a accueilli. Mais lorsque vous foutez le bordel qui s’affiche comme étant hors la loi démocratique, je pense que vous ne respectez pas la France et son peuple. Et pourtant, vous vous déclarez étant un homme politique, un homme intellectuel. Imaginez vous un jour au pouvoir, ne croyez-vous pas que vos images négatives en Europe ne vous suivront pas ? Au contraire. Nous sommes toutes et tous attrapés par notre histoire. Vous vous affichez agressif, menaçant, injurieux, insultant, bagarreur, haineux, jaloux et j’en passe. Pour devenir chef, il y a beaucoup de critères pour atteindre le sommet de l’estime des autres. Si par inadvertance vous devenez le Président de la République, vous serez capable de descendre de votre cortège officiel soit-il, pour vous battre ou vous chamailler avec vos adversaires (Sarko en illustration). Un bon Chef est celui qui sait écouter, qui entend et qui ne dit rien, qu’on insulte, qu’on injure, qu’ on vilipende et qui ne pipe mot. Je me demande si vous pouvez avoir cette attitude devant toutes ces épreuves du pouvoir.

Permettez-moi, Monsieur Marti Sali de vous dire que, si votre mouvement des combattants avait une structure et un leader charismatique partout où vous êtes sensés exister, avec des documents juridiques tels que les statuts et les règlements intérieurs du mouvement, vous seriez pris en considération. Tous vos amis combattants disent tout ce qu’ils pensent et vice versa. Toutes vos revendications ne sont pas toutes à prendre, ils vous manquent la coordination et un leader dans chaque pays pour élaborer un plan et établir un dialogue avec les Institutions de la République si vous voulez qu’un jour vous soyez entendus. Mais, votre méthode expéditive d’agir, qui frise la barbarie et le hooliganisme britannique (éradiqué), au XXI siècle, c’est inadmissible. Vous êtes des anarchistes sans autre forme de qualification. Vous ne passez pas un bon message à travers le Monde entier qui vous regarde. Je suis désolé de vous dire ça, c’est l’image négative qui vous tue.

Ce que vous oubliez, Monsieur Marti Sali, que les Européens savent et connaissent tout ce qui se passe aujourd’hui dans notre pays. Vous serez un jour surpris d’apprendre que le droit asile politique ne sera plus accordé aux ressortissants de la République Démocratique du Congo. Pourquoi vous poseriez vous la question ? Tout simplement parce que, si la paix durable s’installe en RDC et que son économie affiche le même résultat comme en ce jour, pour quelle raison les Européens accorderont-ils le droit d’asile aux ressortissants congolais ? Les images négatives que vous montrez en accusant vos dirigeants de tout maux, n’honore pas non plus votre crédibilité ni votre pays. Vous dites que c’est vous qui aimez tant la République Démocratique du Congo et son peuple plus que d’autres fils et d’autres filles de la République.

Pour terminer ma lettre en tant que votre aîné, je ne veux pas quitter cette page sans vous prodiguer quelques conseils. Nous ne sommes pas dans le même mouvement mais cela ne peut pas nous empêcher de dialoguer en tant que des compatriotes qui ont des visions et des opinions différentes. Les revendications que vous émettez sont recevables si vous les orienter vers un processus de paix entre la diaspora combattante, la Diaspora neutre, la Diaspora du côté du pouvoir et la Diaspora non engagée pour votre cause. Vous ne pouvez pas non plus nous dire qu’être Diaspora c’est devenir automatiquement combattant d’office. Le mouvement combattant n’est pas le MPR (Mouvement populaire de la révolution) de triste mémoire. Chacun est libre de se choisir une idéologie sans contrainte. Pour quelle raison vous ne voulez-vous pas débattre avec la Diaspora que vous avez surnommé LES COLLABOS ? Et pour quelle raison vous précipiteriez-vous à les agresser physiquement sans autre forme de procès ? Et croyez-vous que cela va apporter une réponse escomptée à votre cause ? Si vous me croisez n’importe où, vous agirez comment ? Ai-je commis un sacrilège en voulant vous parler à travers cette lettre ouverte ? Et si je vous demande un débat politique et public devant la camera d’Addy Londole ou de Clé Boa César Ngadi, me l’accordera-t-il ?

Monsieur Martin Sali, vous devrez savoir les faits réels, concrets qui sont palpables et visibles. Revenons ici sur l’historique de mouvement combattant en Europe. C’est à Londres qu’avait commencé le mouvement des combattants et qui s’était matérialisé par la Montakalisation de l’Honorable Sénateur She OKITUNDU, quand il était Ambassadeur Itinérant du Président de la République en 2009 si ma mémoire est bonne. Après le mouvement s’est étendu partout au Nord de l’Afrique, c’est-à-dire en Europe et aux Etats-Unis de l’oncle Sam. La frappe, je veux dire par là, l’agression du Président du Sénat à la Gare du Nord, deuxième personnalité du pays, l’Honorable Léon Kengo wa Dondo à Paris. Les deux cas n’ont pas modifié la marche ni le programme du Gouvernement congolais. Pour ne citer que ce deux exemples car il y en a plusieurs dont moi-même et mes Camarades du PPRD France étions victimes à Asnières au mois de mai 2011 par le groupe de Rex Kazadi et votre journaliste d’investigation Roger Bongos qui filmait la scène de violence volontaire sans oublier votre compatriote Madame Kongo Gbagbo Louise. Tous ces faits n’ont pas arrêté le fonctionnement de la reconstruction du pays.

Les boycotts de Référendum Constitutionnel, les boycotts des élections de 2006, premières élections démocratiques libres, indépendantes et transparentes avec des nouvelles structures telles que la création de la Commission électorale nationale indépendante. Les boycottages des élections de 2011 suivies des contestations des résultats issus des urnes, n’ont rien changé par rapport au programme des Institutions de notre pays. Les campagnes d’empêcher que la Francophonie n’eut lieu en République Démocratique du Congo, tout cela n’a pas été suivi par les décideurs qui dirigent ce Monde. Tout ceci, c’est pour vous dire, cher compatriote, Monsieur Martin Sali, que votre combat est juste mais il faut trouver une autre philosophie de combattre et non d’agresser, d’insulter, d’injurier, de mentir, de menace de mort à toute personne qui soutient les Institutions du pays.

Je sais que vous avez autour de vous et à vos côtés des anciens de Paris depuis des années 80 qui doivent vous conseiller pour que le respect patriotique se réinsère dans notre communauté et que les opinions politiques, les obédiences religieuses de chacun soient respectées, acceptées ou tolérées par l’autre. Il y avait de l’harmonie et de la convivialité patriotique pendant les années 80-90 que le mouvement des combattants vient de casser par un autre esprit de haine et de violence. BO ZA KOLO.

Veillez recevoir, Monsieur Martin Sali, mes salutations patriotiques sur mon engagement de vouloir rétablir la paix entre nous la Diaspora dans un premier temps, en suite entre la Diaspora rentrée au pays et en fin avec les Institutions.

Que vive la République Démocratique du Congo ! Que vivent la paix et l’entente entre nous.

Gabriel MASUDI BIN-OMARI

De l’Echo de la Diaspora

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22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 22:26

 

LINGALA FACILE, SWAHILI FACILE, KIKONGO FACILE, TSHILUBA FACILE

BONNE INITIATIVE

                                                                                             

                                                                                        Par Gabriel MASUDI BIN-OMARI

 

Lorsque l’inspiration de créer une chaîne privée lui était venue, Monsieur Zacharie Bababaswe, Homme d’Affaires à la tête de trois chaînes de télévisions, élu Député National en 2011, l’idée était géniale et continue à l’être jusque au moment où nous accouchons ces lignes. Ces émissions sur nos quatre langues nationales sont suivies partout dans le Monde où, grâce à la technologie moderne pour ceux qui accèdent à regarder la RTNC, d’où le succès de son audience à travers notre communauté.

 

Nous apprécions le travail abattu et rendu par nos jeunes journalistes de cette chaîne privée, les journalistes qui s’adonnent à fond pour animer et pour rendre agréable leurs prestations devant les téléspectateurs qui les suivent de partout. Nous jetons encore des fleurs à l’initiateur de cette créativité en donnant du travail à nos compatriotes qui gagnent leurs vies honorablement par la sueur de leurs fronts et qui aiment ce qu’ils font.

 

L’apport et la contribution de Monsieur Zacharie Bababaswe pour donner du travail aux fils et aux filles de la République c’est honorable, car dit-on, le travail c’est la santé. Mais, l’oubli ou l’ignorance d’une certaine règle de la déontologie journalistique est inacceptable. Sans le savoir et par l’enthousiasme de leur métier, l’équipe technique diffuse des images qui ne devraient pas être montrées devant le public.

 

Lorsque nous évoquons ici aspect image des émissions Lingala facile, nous tournons notre regard à la Direction de la chaîne. Nous sommes toutes et tous d’accord, lorsque la chaîne fait de reportages sur tout ce que concerne l’environnement, l’insalubrité, les érosions, les inondations, les éboulements et les destructions des routes et autres. Si nous sommes toutes et tous d’accord sur ces images, cela veut dire elles répondent beaucoup mieux aux attentes de la population. En plus de cela, le reportage de ces images parle directement ou indirectement à nos gouvernants qui doivent s’inspirer de comment apporter une réponse adéquate à tout cela.

 

Que les esprits et les âmes sensibles s’abstiennent.

 

Tel est le message que la chaîne de Zacharie Bababaswe devrait afficher avant de montrer les images qui font frissons aux téléspectateurs. Toute image sur une chaîne publique n’est pas bonne à voir. Les reportages sur les accidentés de la route par exemple, où l’on voit un corps humain broyé, déchiqueté, sans tête, sans bras, sans jambe et exposé devant tout le monde, ces images là, font mal. Comme nous venons de le souligner ci-haut, ces images sont affreuses, percutantes, horribles, elles ne sont pas bon à voir.

 

Nous pensons souvent aux familles de ces hommes, femmes et enfants tués sur la route par des chauffards sans permis de conduire et inciviques. Sur ce point de la sécurité routière, nous félicitons le Gouvernement à travers le Ministère des Transports et des voies des  communications pour les réformes entreprises pour réguler le système sécuritaire des usagers de la route et des piétons. Une pensée également à la Société Nationale d’Assurance qui s’implique efficacement dans la mesure de rendre obligatoire l’assurance tout véhicule à moteur roulant.

 

L’Exemplarité et le Comportemental

 

A. Le comportemental

 

Tout chef d’entreprise en Europe comme partout ailleurs se doit être un model, un exemple et un homme parfait. Les deux termes exemplarité et comportemental, nous incitent à nous adresser à nos hommes d’affaires, à nos hommes politiques et aux différents dirigeants des grandes, petites et moyennes entreprises dans notre pays. Ici, nous ne nous attaquons pas à qui que ce soit, mais cela ne nous empêcherait pas de citer de noms parmi tant d’autres qui seront pour nous de sujets qui nous ont poussé à développer ce document.

 

La plupart de nos hommes politiques abusent de leurs notoriétés vis-à-vis du citoyen et se comportent mal. Que signifie le mot «  Député » ? Deputatus, du mot latin signifie délégué. En français, le mot Député signifie selon le Petit Robert, une personne envoyée en mission ; délégué, ambassadeur. Deuxième signification, Député est un membre d’une Assemblée élective et spécial d’une Assemblée législative élue au suffrage universel. Parlementaire. Ceci nous emmène à développer le comportemental de certains de nos hommes politiques  Députés.

 

Nous assistons de plus en plus aux comportements indésirables de certains de nos Députés nationaux qui disent n’importe quoi, qui se comportent comme de voyous avec un langage de la voyoucratie sous label de la kinoiserie. Et pourtant, les kinois et les kinoises sont des hommes et des femmes respectueux, très onctueux et fiers de l’être. Ces dits honorables Députés font ce qu’ils veulent de leurs immunités parlementaires. Nous citerons au passage l’ancien Député National Roger Lumbala, invalidé, déchu et s’était vu levé de son immunité parlementaire pour une faute lourde de trahir son pays en se mettant du côté des agresseurs de notre pays et devenu rebelle contre les Institutions de la République qui l’ont fait élire comme délégué du peuple à la Chambre Basse.

 

Nous avions suivi un jour à la Radio depuis Paris, la façon dont Roger Lumbala avait injurié, insulté, menacé un journaliste sur les ondes d’une radio périphérique parisienne, c’était affreux, honteux, décevant, humiliant. A cette époque, il était encore Député National. Il a même insulté les combattants en les surnommant injurieusement « Combattufis » qui signifiait les combattants des merdes,  et il se trouverait aujourd’hui en Europe sans aucune inquiétude et sans aucun incident avec ceux qui ont été insulté, c'est-à-dire, les combattants.

 

C’est presque à peu près le même comportement qu’a affiché dernièrement le Patron de Lingala Facile, nous citons Zacharie Bababaswe lorsqu’ils ont eu un différend avec l’artiste musicien Antoine Koffi Olomidé, le Patron du Quartier Latin. A notre niveau, on ne pensait pas qu’un Honorable Député National encore sous le mandat électif du peuple congolais et considéré comme le représentant valable de la jeunesse montante en politique dans la Ville Province de Kinshasa la Capitale, Zacharie Bababaswe a déçu plus qu’un. Ici, nous n’allons pas entrer en détail de tout ce que nous avons vu, ce que nous avons entendu comme propos injurieux, de propos insultants pour déshonorer l’Artiste le mieux coté, le mieux apprécié, le mieux honoré de notre temps. Monsieur Zacharie Bababaswe a osé même demander à Koffi Olomide d’exhiber son Passeport s’il est vrai congolais ? C’est une bavure monstrueuse et xénophobe. A ce niveau, Zacharie Bababaswe est allé trop loin, il fait le travail de Policiers des frontières. Sa place n’est pas à l’Assemblée Nationale.

 

L’Honorable Député, Zacharie Bababaswe s’en était pris également à un Grand Patron de la chaîne de Télévision privée Congo Web, en la personne de Gabriel Shabani record, qu’il a injurié, insulté et humilié, jusqu’à parler de son handicap physique par l’un de ses admirateurs  non rodé à la déontologie journalistique et civique. Nous déplorons et condamnons ces comportements barbares, plusieurs fois répétés par le même sujet, en faveur de quoi et de qui ? La honte, l’opprobre, l’ignominie au sein de l’Assemblée Nationale demeure sous la houlette de Zacharie Bababaswe qui clame sa députation comme une arme contre les faibles.

Le comportement de Zacharie Bababaswe au sein de l’Assemblée Nationale est inadmissible.

 

Son comportement exige l’appel à l’ordre à cet individu par le Bureau de l’Assemblée Nationale et une mise en garde par une lettre de blâme contre cet Honorable Député, qui ne sait pas pourquoi il se trouve dans cet hémicycle du savoir et de connaissance d’où nos lois sont créées, sont édictées. En Europe, les mandats des élus du peuple sont invalidés dès la moindre erreur due à un comportement déplacé, à un langage ou une déclaration malveillante et surtout par des injures et insultes publiques que profère Zacharie Bababaswe au su et au vu de tous. Zacharie Bababaswe est-il devenu qui en République Démocratique du Congo ? Est-il intouchable parce qu’il est connu ou ami du Premier de congolais ? Zacharie Bababaswe doit être poursuivi par la justice et s’il faut invalider son mandat, le temps presse, le peuple l’exige.

 

B.L’Exemplarité

 

Après le comportemental, nous aborderons en quelques lignes l’exemplarité que doit afficher tout homme public, c'est-à-dire, du Président de la République au Chef du village. Dans la Bible, il y a un passage qui nous dit : « celui qui parle beaucoup commet beaucoup d’erreurs qu’à un homme qui parle moins, le sage». Nous nous excuserons sur ce passage Biblique que nous n’avons pas transcrit comme mentionner dans son contexte, mais qui dit presque la même chose. Les initiés du noble livre, la Bible, comprendront.

 

Un Député national, Provincial doit être exemplaire. Nous ne disons pas qu’il doit être Saint, non. Il doit être un exemple devant tout le monde car il est défendeur au sein de l’Assemblée nationale ou Provinciale de son entité électorale et du peuple qui l’a élu pour le représenter. C’est une mission noble et honorable d’où le mot honorable prend sa racine, sa valeur. Le mot  honorable ne doit pas être utilisé comme une arme, comme un bouclier ou comme un pouvoir supplémentaire contre la population ou sur la population. Nous sommes tous égaux devant la loi.

 

Nous concluons ce document sur le comportement et l’exemple que doivent posséder nos hommes politiques publics pour leurs images, qu’ils oublient,  qu’elles reflètent sur tout ce qu’ils ont à entretenir.  Pour ceux qui suivent l’actualité internationale, le Parlement Européen de Strasbourg va invalider le mandat de la Député européenne Marine Le Pen, Présidente du Front National français, pour de propos racistes qu’elle avait tenu en 2011. Pourquoi pas L’honorable Zacharie Bababaswe ? Nous soutenons l’Artiste musicien Antoine Koffi Olomidé pour son combat contre Zacharie Bababaswre.

 

Nous soutenons également Monsieur Gabriel Shabani record, Patron de CongWeb, que l’acte en justice contre Zacharie Bababaswe poursuit son chemin jusqu’à sa condamnation d’emprisonnement ferme ou avec sursis. Nous nous limitons à ce niveau et nous laissons et demandons à la justice de notre pays de suivre son cours, car  nous croyons en elle.     

 

La contribution de l’Echo de la Diaspora

Gabriel MASUDI BIN-OMARI

 

Directeur.  

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30 mai 2013 4 30 /05 /mai /2013 18:51

LE CINQUANTENAIRE DE L’UNION AFRICAINE A ADDIS-ABEBA

 

LORSQUE LES SERPENTS COMMENCENT A SE SUICIDER

                                                                                                     

                                                                                                   Par Gabriel MASUDI BIN-OMARI

 

Savez-vous comment les serpents se suicident ? Un serpent se suicide lorsqu’il commence à se bouffer la queue, car il n’y aura plus le retour à cause de ses dents crochues qui vont dans le même sens, celui d’avaler et non de recracher sa proie, c’est-à-dire sa queue, jusqu’à ce que la mort s’en suive.  

 

Cette image correspond et colle bien à la peau des pays agresseurs de notre pays, le République Démocratique du Congo, pris en sandwich par le Rwanda et l’Ouganda. La peste, comme disait l’écrivain français, Jean de la Fontaine, parce qu’il faut l’appeler ou la citer par leurs  noms, le Rwanda de Kagame et l’Ouganda de Museveni, se sont évertués par leurs passions de perturber leur voisin la RDC de Joseph Kabila Kabange depuis plus de deux décennies, pour un pillage systématique de nos ressources minières.

 

Le déballage de Madame la Ministre des Affaires Etrangères du Rwanda Louise Mushikiwabo sur sa charge contre le Président Yoweri Museveni qu’il qualifie de porte-voix  ou porte-parole de FDLR, les rwandais réfugiés en République Démocratique du Congo, n’est qu’un début du démantèlement de l’Empire ou Royaume  Hitimana prôné par la communauté Tutsi  de Grands-lacs.  

 

Madame Louise  Mushikiwabo qui ne s’interdisait pas de nous traiter comme bon lui semblait dans ses interventions et ses interviews sur le sujet de la République Démocratique du Congo, est prise au piège par ses déclarations intempestives mais sérieuses qui font découvrir tant sur le plan régional de pays des Grands-Lacs  que sur le plan international que son pays le Rwanda est bien impliqué sur le processus macabre et démoniaque de la déstabilisation de la RDC.

 

Connus des tous, le Rwanda et l’Ouganda sont les principaux pays qui soutiennent les Mouvements  des forces négatives en République Démocratique du Congo. Même si aujourd’hui, certains dignitaires de la RDC n’arrivent pas à citer les noms de ces deux pays pendant leurs interventions devant l’opinion nationale et internationale, cela fait froid aux dos des milliers des congolais et des congolaises qui ont confiance aux Institutions de la République.

 

La Ministre rwandaise des Affaires Etrangères s’en prend à Yoweri Museveni et au Président Tanzanie, Jikata Kikwete, qui, ce dernier a eu le courage de dire devant le cinquantenaire de L’Union Africaine à Addis-Abeba que le Rwanda et l’Ouganda devraient se mettre sur la table de négociations  avec les rebelles de leurs pays qui se trouvent en République Démocratique du Congo. L’exemple de la RDC sur les pourparlers de Kampala, malgré que le pays de Museveni soit à la fois  pyromane et pompier qui me le feu et appelle au sécours, cet exemple devrait servir de leçon au Rwanda et en Ouganda, ce qui a mis Louise Mushikiwabo en colère jusqu’à dévoiler les facettes  cachées de l’Ouganda.

 

Voici l’intégralité des déclarations de la Dame de Fer rwandaise Louise Mushikiwabo, Ministre des Affaires Etrangères. La réaction de Louise Mushikiwabo ne s’est pas fait attendre après que le Président Tanzanien ait déclaré que le Rwanda et l’Ouganda devraient se regarder dans la glace.  « Vous savez, le FDLR, c’est un groupe de génocidaires. Ce sont des hommes qui ont quitté le pays après avoir participé à l’élimination de plus d’un million de Rwandais. Mais, ça ne nous étonne pas. Parce que des porte-paroles du FDLR, il y en a beaucoup. Il y en a qui sont très alignés sur le FDLR, idéologiquement. Au Rwanda, on a arrêté le génocide, mais on n’a pas arrêté la manière de penser. Donc, il y a des sympathies, ici et là. Au niveau de notre voisinage, mais aussi loin du Rwanda ». Sommes-nous mis en cause par le voisinage évoqué par Louise Mushikiwabo ? Quelle cette manière de penser du Rwanda que Madame la Ministre n’a pas voulu nous détailler ? 

 

Elle s’en prend aussi bien au Président tanzanien qu’à l’ougandais : « que le président Jikaya Kikwete lui-même - qui pendant longtemps, en tant que ministre des Affaires étrangères de la Tanzanie, a fait partie de toutes ces discussions - tout d’un coup, aujourd’hui, pense que le Rwanda devrait s’asseoir à la table des négociations... C’est quand même aberrant ! », Affirme-t-elle. Il n’a pas tort le Président Tanzanien, Madame la Ministre. Jikaya Kikwete a compris l’importance de la tranquillité de la République Démocratique du Congo dans la Région de Grands-Lacs, elle est le pilier du développement de la Région tout entière.

Et d’ajouter : « (…) je pense qu’il ne faut pas faire d’amalgame, non plus. Il n’a pas été clair dans la réunion d’hier dimanche 26 mai. Mais nous, on n’a jamais pensé qu’il s’agirait de demander au Rwanda de s’asseoir à la table des négociations, ce qui est choquant pour les Rwandais, aujourd’hui, qui apparemment ont écouté (…) des propos pareils. Ceux qui pensent que le Rwanda devrait s’asseoir à la table des négociations avec les FDLR, ne savent pas de quoi ils parlent ». Selon l’Avenir du 29 mai 2013.

 

Vu le comportement de cette Dame par son arrogance d’être tutsi et fière de l’être, elle n’a pas froid aux yeux et se permet de dire ce qu’elle pense devant la Radio France Internationale, écoutée partout à travers les quatre coins de la planète. Le Rwanda ne pourra jamais se mettre autour d’une table avec le FDLR, qu’elle considère toujours comme de génocidaires. Et le génocide que le Rwanda commet en RDC, cela pour elle, est une affaire congolo-congolaise. Elle est bien culottée celle-là.

 

Pour conclure mon commentaire, un jour la vérité finira par triompher. Et si je me réfère ici à la générique d’avant les Informations de notre chaîne de télévision que le Président de la République dit : «  Avec la dure bataille pour la reconstruction du Congo, la victoire est à notre portée » fin de citation. La paix durable reviendra très bientôt à l’Est de notre pays, il faut avoir de la conviction sur les efforts menés par le Président de la République, par le Gouvernement et par les FARDC, qui, aujourd’hui ont montré qu’elles sont capables de mettre l’ennemi hors d’état de nuire. Bravo ! Tout le peuple est derrière vous.

 

                                                                 Gabriel MASUDI BIN-OMARI

                                                                   Echo de la Diaspora Paris-France.   

 

 

 

 

 

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16 mai 2013 4 16 /05 /mai /2013 15:04

LES 365 JOURS DU GOVERNEMENT MATATA MPONYO

                                                                                              Par Gabriel MASUDI BIN-OMARI

Augustin Matata Mponyo, Premier Ministre

     

Le gouvernement Augustin Matata Mponyo vient de totaliser 365 jours  à la primature, ce qui équivaut à 8.760 heures si je me réfère de la façon dont l’Humble Papy Tamba  s’exprime et s’explique pour être précis. L’homme qui a été nommé par le Président de la République, n’était pas quelqu’un d’autre, ce fut l’ancien Ministre des Finances du Gouvernement Adolphe Muzito.

 

La nomination de Augustin Matata Mponyo à ce haut niveau de la hiérarchie de la République était inattendue et avait surpris tout un chacun, au sein de la Majorité présidentielle et au sein du Parti du peuple et la reconstruction pour la démocratie, en sigle PPRD. Membre de cette famille politique sans aucune prétention, est devenu le troisième Premier Ministre sous la présidence de Joseph Kabila Kabange, Président de la République.

 

Apprécié par le Chef de l’Etat au cours de sa présence au Ministère des Finances, le choix du Président de la République n’était pas si mauvais qu’on le croyait.  Il avait senti dans cet homme, une rigueur du travail abattu et une volonté de vouloir sortir le pays dans la crise économique et sociale sous toutes formes qui existaient et qui existent encore de nos jours. Depuis longtemps, notre pays ne s’était jamais relevé, mais avec l’arrivée d’un technocrate à la primature, les choses commencent à changer.  

 

Quand on est Chef, on a d’autres sens d’inspirations et de visions. Même quand on est dans une même classe ou dans une même entreprise, il y a toujours une personne qui se fait distinguer, remarquer et apprécier parmi tant d’autres. En plus de cela, il y a toujours le premier de la classe et le dernier. La composition de ce Gouvernement après l’élection présidentielle avait pris un retard pour que le Chef de l’Etat se décide et nomme le Premier Ministre. Prévoyant et visionnaire, le Président de la République a laissé le temps au temps pour mieux voir, mieux analyser, mieux étudier et mieux se choisir un homme parmi les hommes qui l’entourent.

 

Le choix et la vision du Chef de l’Etat sur Augustin Matata Mponyo se sont révélés positifs et aujourd’hui, nous avons un Gouvernement qui est visible sur le plan national et international. Notre pays commence à voir un grand changement sur la situation macroéconomique et la stabilisation de notre monnaie nationale le franc congolais qui depuis plus de cinq ans, maintient son taux d’échange. A la date de l’an un, c’est-à-dire, le 4 mai 2013 qu’il est à la tête du Gouvernement, nous avons suivi sur la Radiotélévision nationale congolaise à travers les commentaires des plusieurs intervenants qui ont parlé de la gestion de Matata Mponyo.

 

Nous avons vu et entendu que des éloges, des encouragements, des félicitations. Même certaines personnalités de l’opposition ont commenté avec enthousiasme, avec fierté les œuvres, les qualités du Chez du Gouvernement, tel est le cas du Député National de Kasangulu, l’Honorable Jean-Claude Vuemba.

     

L’Honorable honoraire Yves Kisombe, a analysé cet anniversaire du Chef du Gouvernement avec beaucoup d’intelligence. Son analyse et son appréciation sur l’action du Premier Ministre durant son un an à la Primature, démontrent combien cet homme est porté dans les cœurs de certains hommes de la Majorité présidentielle et du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie. Non seulement Yves Kisombe, il y avait plusieurs d’autres personnalités politiques et de la société civile qui ont donné leurs points de vue positive sur l’action menée par le Chef du Gouvernement, Son Excellence Augustin Matata Mponyo.  

     

MOTION DE CENSURE CONTRE Augustin Matata Mponyo

 

En lisant La Prospérité de ce lundi 22 avril 2013, une phrase contenant trois parties a beaucoup retenu mon attention. Elle nous dit ceci : « Coup de théâtre ! 42 signataires de la motion se rétractent. Parmi eux, plus de 90 % appartiennent à la Majorité Présidentielle (MP) ».

 

Chers membres de la Majorité Présidentielle, pour ceux qui ont agi ainsi, s’ils ne le savent pas, c’est une haute trahison vis-à-vis du Président de la République, vis-à-vis du Premier Ministre, vis-à-vis du Président de l’Assemblée nationale et enfin, vis-à-vis de militantes et militants de cette plateforme politique.

En agissant ainsi en âme et conscience, nos honorables Députés de la Majorité Présidentielle ont pêché par ambition et par haine envers l’homme Matata Mponyo et son Gouvernement dont ils convoitisent le Poste. Les hommes comme nous, qui soutenons ce Gouvernement depuis l’extérieur, nous nous posons la question de savoir, pourquoi ces manœuvres diaboliques envers un membre de la même Majorité soit attaqué par ses propres camarades ?  

 

Il est vrai que, dans toute famille politique, il y a toujours les querelles entre les membres, voire même dans une famille biologique, les mésententes et les conflits internes ne manquent jamais. C’est leur droit d’être mécontent de certains faits qu’ils voulaient reprocher au Chef du Gouvernement, mais pas de cette manière. Bien évidemment, ils sont Députés et ils ont droit de dire oui ou non sur certaines choses qui ne marchent pas.

 

La nomination de ce technocrate à la tête du Gouvernement de Joseph Kabila Kabange, Chef de l’Etat et Président de la République, avait suscité bien sûr de mécontents parmi les têtes couronnées de la Majorité présidentielle voire même au sein de sa famille politique Le PPRD. Il est tout à fait légitime pour certaines personnes qui se prétendaient à être nommées à ce poste pour succéder à Adolphe Muzito, l’ancien premier ministre, avaient raison et tort, car la décision viendra du Chef de l’Etat, seul capitaine à bord.

 

Je pense, et cela ne m’engage que moi, après que le Président de la République ait pris la décision de nommer telle ou telle personne, les mécontentements des uns et des autres, ne changeront à rien. L’Ordonnance présidentielle est promulguée et signée par lui et par son Chef du Cabinet, tout est fini. Dès qu’il abroge l’ancienne ordonnance et nomination antérieures, l’application de la nouvelle loi, de la nouvelle ordonnance et de la nouvelle nomination prend effet immédiatement.

 

Avant l’anniversaire de sa Primature à la tête du Gouvernement de notre pays, l’opposition avec la complicité d’un certain nombre de nos Députés de la Majorité, ont voulu faire tomber l’homme de la rigueur de Joseph Kabila Kabange qu’il a trié parmi les quinze personnes recherchées par ce dernier. A la découverte de Matata Mponyo par Joseph Kabila, nous avons découvert autour de Matata, d’autres éléments recherchés par le Président de la République pour rendre notre pays digne, vivant sur le plan politique, économique, social, diplomatique et beaucoup d’autres qui commencent à prendre son élan et à apporter ses fruits que tous les congolais attendaient depuis longtemps.

 

La Réforme.

 

Les réformes, partout dans le Monde, est une période cruciale et décisive des gouvernants. A son arrivée à la tête du Gouvernement de notre pays, le pays semblait être dans un décollage freiné par certaines personnes qui ne voulaient pas l’application de certaines mesures des rigueurs voulu par le Président de la République pour un Congo émergent. Ils ont tort.

 

Le combat pour cette réforme de Matata Mponyo sur l’impulsion du Chef de l’Etat, a pris corps dès son accession à la Primature, laquelle aujourd’hui devient efficace. Devenu cible des certains hommes et des femmes politiques du moment, Matata Mponyo s’était vu critiquer ouvertement par certaines personnalités de la majorité jusqu’à le trainer dans la boue. Et pour cause ? Sa rigueur dans la gestion des affaires de l’Etat dont il est responsable.

 

Le gouvernement de ce dernier dénommé le Gouvernement de technocrates et des intellectuels, avait été mal compris par les détracteurs qui voyaient en mal des mesures prises avec rigueur et déterminations de l’homme Matata Mponyo, qui aux yeux du Chef de l’Etat, est et sera le sauveur de notre pays sur le plan macroéconomique et de la stabilisation de notre monnaie, le Franc Congolais.  

L’homme de la Rigueur.

 

Le mot rigueur me rappelle ici l’homme Kengo wa Dondo, aujourd’hui Président de la Chambre Haute du Parlement, à l’époque où il était Premier Ministre vers la fin du règne du Maréchal Mobutu. Il fut lui aussi la cible, la victime de la rigueur qu’il s’était fixée pour gérer la situation financière et économique du Zaïre de Mobutu. Des remarque et reproche lui étaient faites mention par le Chef de l’Etat lui-même, le Maréchal Mobutu, qui lui posait la question de savoir si les zaïrois vont  manger de la rigueur ? Léon Kengo wa Dondo en avait souffert également comme Matata Mponyo aujourd’hui.

 

Toutes les réformes dans un système quelconque soit-elle, ne sont pas toujours les bienvenues. Si les gens ne les savent pas, c’est un changement radical du système antérieur et qui font mal aux non initiés qui trouveront au réformateur un ennemi numéro un et un homme à abattre. C’est le cas de Son Excellence Augustin Matata Mponyo, le Chef du Gouvernement. La réforme entamée par ce dernier a boosté voire bousculé d’une manière irréfutable les anciennes méthodes qui étaient encrées dans le système de la gouvernance de la première et de la seconde République et qui voulait continuer son chemin dans la III ème République.

 

La bancarisation

 

Un système de transparence et d’assurance pour les fonctionnaires de l’Etat, qui étaient souvent arnaqués et victimes des vols organisés par d’autres fonctionnaires qui s’appelaient les agents payeurs, comptables de l’Etat. Ces hommes et ces femmes fonctionnaires comptables menaient un train de vie autre par rapport à leurs revenus mensuels. Ils continuaient leurs sales besognes à sous tirer de l’argent sur les paies des autres fonctionnaires, qui  touchaient leurs maigres salaires amoindris de quelques billets volés par les agents payeurs appelés comptables.

 

Lorsque le Gouvernement Matata Mponyo fut nommé, son cheval de batail, fut la réforme sous plusieurs aspects dont  la bancarisation de tous les fonctionnaires et de tous les agents de l’Etat de la fonction publique, les militaires, les policiers, qui commenceraient à toucher leurs soldes à la banque toutes les fins du mois. L’incompréhension était totale, surtout pour tous ceux et toutes celles qui n’ont jamais eu à ouvrir un compte bancaire depuis leurs carrières, ils étaient complètement perdus. Mais cette réforme sera appliquée malgré les embuches et les mécontentements des uns et des autres. Aujourd’hui, tout le monde est content, si je ne m’abuse.

 

Pourquoi Motion de défiance au Premier Ministre ?

 

Parce que, tout simplement mais fortement, Augustin Matata Mponyo a fermé les robinets de fuites d’argent par les voleurs et d’autres arnaqueurs qui puisaient leurs richesses sur les dos et sur les fiches des paies d’autres fonctionnaires. La suppression purement et simplement des agents payeurs et comptables de l’Etat, n’a pas fait des amis à Matata Mponyo, mais ses ennemis qui étaient soutenus par les gros parapluies au niveau des nos Institutions. Fini la recréation avait dit le Chef du Gouvernement. Je me souviens ici du générique d’avant les Informations sur la RTNC que prononce le Chef de l’Etat qui dit : « Dans la dure bataille pour la reconstruction du Congo, la victoire est à notre portée ».

 

Après que le Président de la République s’était fait choisir des technocrates pour qui parmi eux, certains n’étaient pas de fins politiciens mais la plus part d’entre eux, étaient membres de la plate-forme politique de la Majorité présidentielle. Aujourd’hui, son choix commence à apporter ses fruits. Il avait laissé le temps au temps avant la nomination du Premier Ministre, en laissant également couler beaucoup de spéculations parmi les personnalités qui se voyaient déjà dans la peau du futur locateur de l’Hôtel du Gouvernement.

 

A nos Députés de la plate-forme de la Majorité présidentielle en général et ceux du Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie, PPRD en sigle en particulier, qui s’étaient laissés embobiner et embarquer dans un mauvais navire qui naviguait à contre courant de la vision de la personne morale, avaient commis une faute grave si ce n’était pas une haute trahison. Le retrait de leurs signatures déposées devant le bureau du Président de l’Assemblée Nationale, avaient démontré leurs limites en matière de conviction politique et de leurs engagements aux côtés du Chef de l’Etat et du Chef du Gouvernement.

 

L’Honorable Député de l’opposition voulait faire tomber le Gouvernement  du Premier Ministre de la Majorité présidentielle. Vu le nombre de 42 Députés signataires dont le pourcentage s’élevait à 90 % de Députés de la majorité présidentielle cela veut dire qu’il y a beaucoup de mécontents au sein de notre famille politique et dans notre plate-forme politique.

 

Conseil: rien ne sert à bruler les étapes et de chercher à nuire à l’équipe gouvernementale qui commence à conquérir certaines âmes et certains esprits des congolais petit à petit. Attendaient le remaniement qui s'annonce et préparez-vous à travailler plus que les hommes que vous allez sucéder aux soit ministeriels ou autres. Il est également vrais, qu’après ce mandat de Joseph Kabila Kabange, nous congolais, auront à remarquer qu’il y a un changement et que c’est la nouvelle génération qui est au pouvoir, la jeunesse que Mobutu disait est l’avenir de demain, mais qu’il n’avait pas bien encadré et bien orienté vers le futur.

                                                            Gabriel MASUDI BIN-OMARI

 

   

 

 

 

 

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20 avril 2013 6 20 /04 /avril /2013 13:08

LA PLACE DE LA FEMME DANS LA SOCIETE CONGOLAISE (suite)

                                                             Par Gabriel MASUDI BIN-OMARI

 

Introduction

 

Dans cette deuxième partie de ce sujet très intéressant concernant la place de la femme de la République Démocratique du Congo dans la société congolaise qui nous compose, l’idée m’est venue pour compléter et développer le premier document afin que chaque lecteur et chaque lectrice comprennent mes préoccupations, intellectuelles soient-elles, peu importe.

 

Ce que nous voulons vous dire ici, est que, la vie de la femme intellectuelle, de la femme de champs, de la femme de la rivière, de la femme vendeuse, de la femme associative congolaise en République Démocratique du Congo, a bel et bien évoluée et révolue. Il n’y a pas photo, pour confirmer dans ces lignes que la 3ème République, est une vraie République qui a ouvert l’opportunité à toutes les filles du pays pour  montrer leurs capacités intellectuelles pour se faire apprécier, valable pour la tâche qui pouvait leur être confiée.

 

La Première et la Deuxième République

 

La première et la Deuxième République avaient une autre image sur la femme. Après l’accession de notre pays à sa souveraineté nationale, nous sommes ici  le trente juin mille neuf-cent soixante (30 juin 1960), la plupart de la femme congolaise n’avait acquis aucune base requise d’instruction de haut niveau pour apporter sa contribution à l’édifice au niveau national et local. A cette époque, l’homme congolais était dominant sur tout le plan et dans tout le domaine.

 

La femme congolaise de l’époque, était inaperçue et ne jouait aucun rôle dans la vie de la Nation. Considérée comme femme au foyer et sans plus, n’avait aucun rôle à jouer. N’étant pas  émancipé et aveuglée par l’illettrisme et la non connaissance de ses droits, la femme congolaise de cette époque était restée sous l’exploitation de son compatriote homme congolais. La coutume et la tradition ancestrale restant dominant en ville comme dans les villages, la femme était restée inférieur par rapport à  l’homme.

 

Quant à la Deuxième République, nos Universités avaient produit un bon nombre de femmes congolaises après leurs études primaires, secondaires, universitaires et post universitaires et qui avaient pris part à la gestion de notre pays. Elles n’étaient pas nombreuses, mais elles étaient là, avec l’homme congolais pour apporter leur contribution intellectuelle. Sous le règne du Maréchal Mobutu, ancien Président de la République, nous avions vécu les nominations de la femme congolaise au poste de Ministre et autres. Le mal qui régnait à cette époque, pour qu’une femme soit nommée à un haut niveau, qu’elle soit mariée ou pas, elle devrait laisser sa plume, suivez mon regard, cela veut dire, payer en nature son intégration et pourtant elle est capable d‘assumer.

 

La troisième République

 

L’avènement de la troisième République qui avait pris corps depuis le 17 mai 1997, est une république de lumière pour la femme de la République Démocratique du Congo dans son ensemble. Et cela surtout, depuis que le Président actuel avait accédé au trône en 2001 où l’œil sur l’intellectuelle féminine avait commencé à se faire sentir dans les affaires de la gestion du pays. Lors du premier mandat du Président actuel de 2006 à 2011, le Gouvernement avait placé aux postes des responsabilités un certain nombre de femmes dans les domaines bien déterminés. Je pense que je ne me trompe pas.

 

Le second quinquennat de Joseph Kabila Kabange de 2011 à 2016, est une implosion voire révolution au droit de la femme congolaise d’être l’actrice et non plus spectatrice assistante sans rien faire dans la gestion des affaires publiques du pays. Les faits sont là, palpables et convaincants. L’émancipation de la femme congolaise actuelle atteint son apogée. La revendication de la femme congolaise du XXIème siècle sur la parité, c’est-à-dire, à travail égal, salaire égal et au niveau d’étude égal, aux responsabilités égales. Etant défenseur de droit de femmes, je ne suis pas l’avocat du diable car elle mérite le soutien de tous.

 

Que ce qui est frappant dans la montée spectaculaire de considérations, de respectabilités de la femme congolaise ? Aujourd’hui, notre compatriote féminin est à la base de plusieurs facteurs importants de son implication au développement dans les affaires de l’Etat. Vu le nombre croissant de la femme congolaise sur le plan intellectuel,  sur le plan d’entreprenariat, la RDC n’a plus besoin d’aller chercher le sujet féminin ailleurs. Notre compatriote femme a toute les valeurs requises pour diriger et pour gouverner.

 

J’habite à huit milles kilomètres de mon pays, grâce à la technologie actuelle, de voir, de vivre en direct tout ce qui se passe dans mon pays, est une faveur. Par cette même occasion qui m’est offerte à travers ces écrits, je rends ici un vibra grand hommage à la troisième République et aux acteurs politiques qui jouent positivement pour nous rendre, nous qui sommes loin de notre frontière de vivre en direct l’actualité attendue. Je suis parmi ceux et celles qui soutiennent les efforts combien louables des acteurs politiques du moment, qui, comme certains d’entre eux, mouillent sérieusement leurs chemises pour rendre service au peule et à la nation congolaise.

 

Hommage à ces grandes Femmes

 

Nous savons qu’il nous sera très difficile de citer nommément  toutes les grandes figures  dames de la République, car elles sont innombrables aux postes de responsabilité. Nous allons ici commencer à citer les femmes du moment qui font l’actualité, soit par leurs positions sur le plan politique d’où leurs notoriétés. D’autres femmes, par leurs positions sur le plan social qui ne sont ni ministres ni députés, mais de femmes qui pèsent beaucoup pour leurs engagements d’aider les congolais et les congolaises les plus vulnérables.

 

Tel est le cas de la Première Dame Marie Olive Lembe Kabila. Elle n’est pas ni ministre, ni député, ni sénatrice, mais l’épouse du Chef de l’Etat. En sa qualité de la Première Dame, elle joue un rôle très important aux côtés de son mari. C’est une femme qui a donné l’exemple dans l’opinion que la contribution et l’engagement d’une épouse du Président de la République peut rendre service à la population. Les œuvres de Maman Olive Lembe Kabila ne sont pas à détailler, car elles sont nombreuses et palpables.

 

Elle est aussi un model, une militante de la cause humaine, un exemple, qui pendant la campagne électorale de2011, nous l’avons vu aux côtés de son mari portée l’étendard pour une campagne dure et décisive. Son courage et son dévouement avait poussé d’autres grandes Dames d’encourager leurs maris pendant cette période dure et difficile. D’ici, nous rendons également hommage aux Mamans Marthe Tshisekedi, Maman Kengo wa Dondo et autres Mamans des présidentiables de cette période de la fin de l’année 2011.

 

Les femmes Ministres

 

Nous retrouvons la femme congolaise dans de postes ministériels qui font leurs différences et leurs déterminations de vouloir démontrer leurs capacités de diriger et d’être utiles à la nation. Voici les femmes Ministres qui font l’actualité en République Démocratique du Congo. Au ministère de Portefeuilles, nous avons Madame Munga. Au Ministère de la famille, genre et enfant,  Madame Géneviève Inagosi  Kasongo. Au Ministère de la Justice : Madame Wivine Mumba . Nous avons également les deux Vice-ministres aux Ministères de la Justice et à l’Enseignement primaire, secondaire et  professionnel. Celles que nous n’avons pas cité car nous n’avons la liste, nous leurs demandons de bien vouloir nous en excuser.

 

Les Femmes Présidentes des grandes entreprises publiques de l’Etat

A l’Institut National de la Sécurité Sociale, il y a une femme à sa tête, qui malheureusement nous n’avons pas son nom sous nos yeux. Nous excusons.

A la SONAS, la grande société d’Assurance congolaise a à sa tête Madame Carole, qui dirige cette entreprise  publique depuis bientôt un à deux ans.

 

Les femmes députés et sénatrices

 

Dans ces deux Institutions de la République, c’est-à-dire la Chambre basse et la Chambre haute,  regorgent d’un certain nombre de femmes politiques et responsables. Nous leurs rendons hommage pour leur engagement politique en se portant défenseuses du peuple congolais. Nous ne pouvons pas toutes le citer parce qu’elles sont nombreuses. Mais, quelques unes parmi elles de l’Assemblée nationale, telles  que : Madame Marie Ange Lukiana, Madame Jannet Kabila, Madame Wivine Moleka, Madame Henriette Wambo, Madame Bazabaiba et beaucoup d’autres.

 

Les femmes sénatrices sont honorées également comme les femmes députés citées nommément car nous connaissons leurs noms par la presse. Ellessont aussi engagées et font la fierté de notre chambre haute du Parlement.

 

Les femmes journalistes

 

C’est une Institution qui a ouvert sa grande porte pour embaucher autant de femmes dans son sein. Elles sont tellement nombreuses, les citer nommément, nous prendrons toute une année pour les transcrire et on en finira jamais. Nos premiers hommages s’adressent à Madame Dibambu Kitoko, a.i. de cette Institution publique, qui la dirige avec beaucoup d’excellence et de détermination. Quant à son équipe de journalistes au féminin, on peut citer : Madame Brigitte Mopane, Madame Lofembe, Madame Rosette Mujinga, Madame Mamie de l’émission de Stars musiciens, maman Bipendu et beaucoup d’autres.

 

Les Femmes Bourgmestres Ville de Kinshasa.

 

Dans cette Institution de la Ville Province de Kinshasa,  nous avons plusieurs Communes qui sont dirigées par la femme congolaise. La Commune de Kasa-Vubu, Madame Bebe Meta Mbuyi. Dans la Commune de Masina, Maman Révérende Ernestine Muzinga Mundjombo. La Commune de Lingwala, Maman Mwaluke. Une adjointe de la Commune de Ngaba ,  Maman Madame Mambu.  Adjointe  de la Commune de la Gombe, Madame Félicité et autant d’autres.

Nous ne pouvons pas terminer ce document sans parler de la femme scientifique, de la femme associative, de la femme juriste, de la femme politique telle que, Maman Mieze, de la femme vendeuse, la femme de champs, la femme sans emploi et pourtant entreprenante sous plusieurs casquettes.

 

La femme congolaise dans l’Armée et dans la police nationale. Elles sont nombreuses et

combattantes sous plusieurs services. Nous les félicitons et leurs rendons hommage.

 

Recevez notre hommage, vous êtes l’émanation et la pierre angulaire pour l’avancement  et le développement notre pays. Vous faites la fierté. Notre pays existe, parce que vous existez et parce que vous êtes présentes.

 

                                                                                                                      Gabriel MASUDI BIN-OMARI

                                                                                                                      Créateur de l’Echo de la Diaspora.

 

 

 

 

 

 

 

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  • Gabriel Masudi Bin-Omari
  • Gabriel Masudi Bin-Omari. Créateur de l'Echo de la Diaspora. Syndicaliste de Formation, défendeur des droits de travailleurs. Etudes Universitaires non sanctionnées, rien ne m'empêche de m'afficher, de donner mon point de vue.
  • Gabriel Masudi Bin-Omari. Créateur de l'Echo de la Diaspora. Syndicaliste de Formation, défendeur des droits de travailleurs. Etudes Universitaires non sanctionnées, rien ne m'empêche de m'afficher, de donner mon point de vue.

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